Je fais une digression, mais je réalise que je ne vous ai pas parlé de notre régime alimentaire durant le voyage. Du moins, si l'on excepte les pantagruéliques brunchs dominicaux dans des hôtels de renom.
Et bien vu que la nourriture australo-néozélandaise s'apparente fortement à la malbouffe américaine, nous avons choisi de nous tourner vers quelque chose de plus sain. Comme le sushi, par exemple. Ca tombe bien, la communauté asiatique est très importante là-bas, et il y a autant de restaurants à sushi dans les grandes villes qu'à Paris (on a cherché les sushi à Uluru, mais on n'en a pas trouvés).
Ce qui ne veut pas dire que nous n'avons pas craqué pour des fish and chips ou des hamburgers, mais globalement on en est resté au poisson cru et au riz. Et ce qui est fort, c'est que le sushi est différent de chez nous là-bas.
Prenons le restaurant japonais où nous sommes allés à Sydney : le chirachi y est servi avec des algues fraîches, de l'avocat, et des oeufs de lompe. Il y a même un udon (soupe de grosses nouilles) en accompagnement.
A Melbourne, nous avons bouffé du sushi "à l'australienne" : les marchands vendent dans de petites échoppes des rouleaux de maki entiers, non coupés, qui se mangent en snack dans la rue. Un rouleau équivalent à 6 maki coûte 1€ pièce. Vous imaginez comme on a pu se gaver.
Le restaurant japonais de Queenstown était délicieux aussi : le chirachi y est préparé avec du piment pour relever le goût.
A Rotorua, nous avons mangé dans un délicieux restaurant situé à l'écart de la zone touristique. Assis sur des tabourets au comptoir, on a pu voir le cuisinier préparer le poisson devant nous, comme dans les dessins animés. Les femmes servaient même en kimono.
Et à Auckland, nous avons englouti à deux un énorme plateau de 70 maki.
(Pas) étonnant que nous ayions maigri.
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